mae young classic participantes
Décryptage

WWE Mae Young Classic : Présentation des participantes

WWE

C’est ce lundi que seront diffusés les premiers épisodes du Mae Young Classic sur le WWE Network. Avant de se plonger dans ce tournoi révolutionnaire pour la WWE et d’applaudir la mise en lumière que la fédération de Stamford accorde au catch féminin, penchons nous sur les 32 participantes afin de les présenter une par une.

Shayna Baszler (États-Unis)

Ancienne combattante de l’UFC (record de 15 victoires pour 11 défaites en MMA), elle bascule vers le catch en 2015 après être apparue à un PPV de la Ring of Honor. Membre de la Trifecta avec Mercedes Martinez et Nicole Savoy à la SHIMMER, elle est également membre des Four Horsewomen du MMA avec Ronda Rousey, Jessamyn Duke (qui a elle aussi quitté le MMA pour commencer le catch) et Marina Shafyr (épouse de Roderick Strong). Elle catche au Japon à la Stardom et utilise les soumissions comme la Kimura en prise de finition. Elle nomme cette dernière Double Wristlkock en hommage à ses entraineurs Billy Robinson et Josh Barnett. En janvier 2015 elle était classé vingt-septième meilleure lutteuse Bantamweight du monde et est à ce jour la seule femme diplômée « catch-wrestler » aux États-Unis.

Marti Belle (États-Unis/République Dominicaine)

La catcheuse américaine d’origine dominicaine n’est pas inconnue des téléspectateurs avides de catch. On l’a vu à la TNA de 2014 à 2016 au sein de la faction Dollhouse avec Taryn Terrel et Mia Yim, et ensuite en solo face à son ancienne partenaire Mia Yim. Ancienne championne WSU en simple et en équipe, elle était classée trente-deuxième du « PWI Female 50 » en 2016. Entrainée par Johnny Rodz, elle adopte un style assez classique et utilise un Double Underhook Facebuster et un Neckbreaker comme prises de finition.

Kairi Sane (Japon)

Une des favorites du tournoi, la catchuse de la Stardom a signé à la WWE en ce milieu d’année. Dotée du plus bel Elbow Drop du monde, elle œuvre dans le pur style joshi de ses compatriotes les sœurs Shirai et Mayu Iwatani, inspiré des légendes Manami Toyota ou Toshiyo Yamada. Au style technique mais flashy, elle sera une des attractions de ce tournoi. Ancienne championne de la Stardom elle a déjà ses habitudes avec certaines participantes comme Shayna Bazsler ou Toni Storm. La catcheuse au look de pirate est un poids plume de la compétition avec 52 kilos pour 1m65.

Mercedes Martinez (États-Unis)

Une des doyennes du tournoi (36 ans), la « Latina Sensation » est déjà pressentie pour signer un contrat avec la WWE en tant que coach au Performance Center. Avec presque dix-huit ans d’expérience, elle sera ici opposée à ses deux comparses de la Trifecta, Shayna Bazsler et Nicole Savoy. Grande amatrice des souplesses en tout genre, elle collectionne les titres à la WSU, la SHIMMER et détient le titre de championne féminine wXw et de championne par équipe de la Shine. En ce qui concerne la SHIMMER, elle en est la championne en titre. Le président de la SHIMMER est aussi un des conseillers de Triple H dans l’organisation de ce tournoi. Il faudra se méfier de son Bull Run (rien à avoir avec Bull James) qui est un Fisherman Buster qui lui permet en général de remporter ses matchs.

Nicole Savoy (États-Unis)

La troisième et dernière membre de la Trifecta dans ce tournoi et à la SHIMMER, Nicole Savoy est classé treizième dans le classement PWI des meilleures catcheuses de 2016. Comme Mercedes Martinez, son arsenal repose sur les souplesses et variantes, au point de lui valoir le surnom de « Queen of the Suplexes » ou encore « Sacramento Suplex Machine ». Au style athlétique, puissant mais aussi très esthétique elle rappelle un peu Taz ou Kurt Angle dans sa manière d’imposer sa puissance et technicité pour maitriser ses adversaires. Actuelle championne de la AWS et ancienne championne SHIMMER, elle a déjà affronté beaucoup de participantes de ce tournoi. Elle utilise une variante du Steiner Screwdriver en prise de finition qu’elle ne pourra pas utiliser à la WWE, donc nous aurons la surprise quant à ce qu’elle utilisera pour finir ses adversaires.

Toni Storm (Australie)

L’Australienne de ce tournoi en est une des favorites. Âgée de simplement 21 ans, elle est la première championne féminine de la fédération britannique PROGRESS Wrestling. Régulière à la Stardom au Japon, elle a déjà pas mal voyagé et affronté beaucoup de catcheuses au style très différent. Adoptant un style assez hybride mais physique et athlétique, elle ne pourra pas utiliser son Strong Zero Piledriver à la WWE, mais nous y gagnons au change car elle a opté pour une superbe variation du Muscle Buster à la place.

Mia Yim (États-Unis/Corée du Sud)

Anciennement Jade à la TNA et ancienne coéquipière de Marti Belle dans la faction des Dollhouse, elle est déjà une vétéran des circuits du catch américain. Après ses débuts à la CZW en 2010 en tant que valet d’Adam Cole, elle commence à lutter à la Shine ou elle affronta Kimber Lee (Abbey Laith dans ce tournoi), Mercedes Martinez, Santana Garrett ou encore Dakota Kai. En deux ans à la TNA elle a remporté le titre Knockouts une fois, le tournoi de Queen of the Knockouts et la TNA World Cup. Ancienne multi-championne de la Shine, elle a comme Candice LeRae remporté le titre IronMan de la DDT. On est impatient de voir quel finisher elle utilisera car son Package Piledriver ne sera malheureusement pas autorisé. Elle utilise aussi le Eat The Feet de Chuck Taylor ou Gail Kim dans le circuit indépendant mais la WWE met en avant son passé en Muay Thai et Taekwendo, elle devrait ainsi utiliser beaucoup de striking. Classée n°6 dans le PWI Female 50, elle est la catcheuse la mieux classée hors WWE dans ce classement.

Candice LeRae (États-Unis, née au Canada)

Candice LeRae est une des plus célèbres participantes à ce tournoi. Déjà apparue à NXT il y a peu, on ne sait pas exactement si elle a signé avec la WWE. On la connait surtout pour ses apparitions à la PWG ou elle fût championne par équipe avec Joey Ryan, mais aussi récemment à la DDT, mais elle ne catche que très peu dans les fédérations exclusivement féminines. Égérie du catch inter-genre on la voit beaucoup catcher contre des hommes, ce qui lui a valu d’adopter la célèbre Ballsplex comme prise de finition. On l’imagine assez mal utiliser ce genre de prises à la WWE donc elle devrait se rabattre sur un hurricanrana ou sa Gory Bomb pour avancer dans le tournoi.

Sage Beckett (États-Unis)

Protégée des Dudley Boyz et formée dans leur Team 3D Academy, Sage Beckett a dû arrêter le catch en 2012 à cause d’une blessure. Après avoir perdu 130 livres (+/- 60 kilos), la WWE a remarqué la lutteuse originaire de Floride en 2017 et lui a ouvert les portes du Performance Center. Dans la catégorie poids-lourd du tournoi, Sage Beckett saura faire preuve de sa force et de sa puissance pour se faire une place dans la compétition. Parfaite dans son rôle de poids-lourd féminin, elle utilise des grosses prises comme un Sitout Spinebuster ou un Spinning Side Slam qui montrent l’influence de Bully Ray. Ancienne championne wXw, on l’avait aussi vu à la TNA sous le nom de Rosie Lottalove.

Princesa Sugehit (Mexique)

À 37 ans, Princesa Sugehit est une des doyennes de ce tournoi avec Mercedes Martinez. L’actuelle championne féminine de la CMLL et ancienne championne inter-promotion CMLL-Reina a déjà défendu plusieurs fois son masque en forme de papillon ainsi que son identité et en est à chaque fois sortie gagnante. Ayant fait ses débuts en 1996, elle a déjà affronté Candice LeRae sur le circuit indépendant après avoir fait ses débuts à la AAA. Fidèle à la CMLL depuis douze ans, elle a passé une grande majorité des deux dernières années en rivalité contre Zeuxis qui avait elle aussi effectué un tryout à la WWE. Dans la plus pure tradition de lucha libre elle fait usage du Michinoku Driver et du Frankensteiner comme prise de finition.

Bianca Belair (États-Unis)

Spécialiste du CrossFit et d’haltérophilie, on sait peu de choses sur Bianca Belair si ce n’est que la WWE fonde de gros espoirs sur elle. Elle fait partie de ces filles que la WWE espère construire de A à Z contrairement à ses collègues venant du circuit indépendant. Avec ses cheveux tressés dans une natte impressionnante de longueur, elle n’hésite pas à s’en servir comme d’une arme. Dotée d’un Spear magnifique, elle a vaincu Aliyah dans un match de qualification pour le tournoi. Avec une personnalité déjà bien trempée, il faudra la surveiller à NXT dans les années à venir.

Tessa Blanchard (États-Unis)

Filleule de Magnum TA et fille de la légende et Hall of Famer Tully Blanchard, Tessa Blanchard n’a pas la meilleure des réputations sur le circuit indépendant. Réputée pour son mauvais caractère et sa personnalité bien trempée, elle tentera de redorer son image pour obtenir un contrat à la WWE que son pedigree devrait lui permettre de décrocher en temps normal. Alors que Natalya et Charlotte Flair font parler leur lien de parenté à SmackDown, on imagine que la WWE devrait se pourlécher les babines d’avoir une fille de Hall of Famer, qui plus est des Four Horsemen. Elle a déjà eu plusieurs chances à NXT face à Alexa Bliss, Nia Jax ou Carmella. Régulière à la Wrestle Circus, on l’a vu récemment à la SHIMMER et la Stardom. Elle maitrise une bien belle Slingshot Belly to Back Suplex comme prise de finition mais aussi un Facebreaker qu’elle a nommé Magnum en hommage à son parrain.

Serena Deeb (États-Unis)

L’histoire entre la WWE et Serena Deeb est une série de recommencements. Entrée à la OVW en 2005, elle quitte la compagnie développementale en 2009 et lutte alors à la SHIMMER. Prête à tout pour travailler à la WWE, elle y parviendra en 2010 en devenant membre de la Straight Edge Society aux côtés de CM Punk et Luke Gallows mais elle ne catchera qu’une seule fois lors d’un épisode de Smackdown. Elle quittera la WWE et retournera catcher à la SHIMMER, mais aussi à la Shine et la Ring of Honor. Professeure de Yoga, elle sortira de sa retraite après deux ans d’inactivité. Elle tentera de se faire un chemin dans ce tournoi grâce à son Gutbuster. Une belle histoire qui rappelle celle de Tajiri ou Bryan Kendrick dans le Cruiserweight Classic.

Vanessa Borne (États-Unis)

Une des débutantes du tournoi qui s’est qualifiée au dépends de Jayme Hachey lors d’un épisode d’NXT il y a quelques semaines. Malheureusement pour elle, ce combat ne l’a pas beaucoup mise en valeur dans un match ou elle est apparue très « green ». Ancienne animatrice télé chez Fox News et Pom-Pom Girl des Arizona Cardinals en NFL, elle a été entrainée par le Hall of Famer Rikishi et a rejoint officiellement la WWE en 2016. Elle essaiera d’avancer dans ce tournoi avec un Side Slam qu’elle devra travailler car son premier match est loin d’avoir convaincu.

Taynara Conti (Brésil)

Peu de choses à dire sur la jeune Brésilienne qui a rejoint la WWE l’an dernier. Ceinture noire de Judo et ceinture bleue de Jiu Jitsu (spécialité de son pays) elle tentera de faire bonne impression au milieu de catcheuses bien plus expérimentées. Aucun moyen d’en savoir bien plus pour cette participante n’apparaissant que depuis peu à NXT dans les house shows, on ne l’a pas encore vu à la TV ou dans les épisodes hebdomadaires de la branche jaune.

Kavita Devi (Inde)

Encore une athlète inexpérimentée. L’Indienne est une des élèves du Great Khali et possède une grande expérience dans un autre sport : l’haltérophilie. Elle a en effet représenté son pays dans les jeux d’Asie du Sud-Est dans la catégorie des athlètes de 75 kilos. Dans un style très puissant comparable à Sage Beckett, on la découvrira lors de ce tournoi.

Lacey Evans (États-Unis)

Une des belles histoires du Mae Young Classic, l’ancienne US Marine (membre d’un escadron de SWAT) et maman d’une petite fille sera la caution patriotique de la WWE qui fera pleurer dans les chaumières comme ce fût déjà le cas dans l’épisode « Bracketology ». Passionnée par le business du catch, elle a une gimmick à mi-chemin entre son passé militaire et un côté classy assez original. Attention à sa clé de bras qui sera son arme de prédilection, même si jusqu’à maintenant chacune de ses apparitions à NXT s’est soldé par le même résultat : une défaite. On espère la voir avancer dans ce tournoi car elle représente une histoire et un profil que la WWE adore mettre en valeur.

Rachel Evers (États-Unis)

Fille de Paul Ellering, ancien manager des Road Warriors et actuel manager des Authors of Pain, Rachel Evers a changé son nom en hommage à son entraineur Lance Storm dont Evers est le vrai nom. Elle est déjà apparue à NXT, mais aussi à la TNA et surtout Wrestle Circus. Elle a un solide parcours en haltérophilie et comme Tessa Blanchard, son pedigree devrait intéresser les officiels de la WWE. Vu sa grande puissance et son habileté à soulever des poids, elle n’éprouve aucune difficulté à imposer sa force comme en atteste son Fireman’s Carry Stunner qu’elle utilise pour terminer ses concurrentes. Elle devra travailler un léger manque de charisme dans le ring, mais rien de bien insurmontable pour une jeune fille qui a le business du catch dans le sang.

Jazzy Gabert (Allemagne)

La vraie powerhouse du tournoi, 1.85m pour 86 kilos. Elle surplombe pas mal des compétitrices du Mae Young Classic. Filleule d’adoption de « Mr G1 » Masahiro Chono, Jazzy Gabert a déjà pas mal voyagé dans sa carrière qui l’a aussi vu se tremper les orteils dans le MMA, notamment la fédération « dingue » japonaise RIZIN FF. Ancienne championne de la Pro Wrestling EVE, l’Alpha Female est apparue à la Stardom au Japon où elle fût aussi décorée de plusieurs titres. Avec son physique et sa personnalité impressionnante elle sera l’une des attractions de ce tournoi car elle se classe dans la catégorie des Nia Jax ou Tamina mais avec une dose de charisme que les deux autres n’ont pas. Une des rares européennes de ce tournoi, elle porte fièrement le drapeau allemand dans chacun de ses photo shoots.

Santana Garrett (États-Unis)

TNA, Stardom, NXT… Santana Garrett a déjà été vue presque partout. La lutteuse aux allures de Wonder Woman a catché déjà trois fois à NXT mais aussi à la TNA sous le nom de Brittany. Souvent citée comme sous le radar de la WWE et comme une des meilleurs catcheuses indépendantes, elle est étrangement toujours libre de lutter où elle veut et espère que ce tournoi sera une des occasions de décrocher un contrat à la WWE ou NXT. Fortement respectée dans le circuit du catch féminin, elle entraine des catcheuses débutantes. Elle a déjà collectionné pas mal de ceintures un peu partout dans le monde, et possède un style assez classique. Elle utilise un Handspring Moonsault comme finisher.

Reina González (États-Unis)

Encore une catcheuse uniquement connue chez elle à l’heure des repas. Initialement refoulée de Tough Enough en 2015, Reina Gonzalez est la fille d’un lutteur indépendant texan nommé Ricky Gonzalez. Dans le style proche des heavyweights du tournoi, elle utilise un Fireman into a Cutter comme prise de finition. Elle a signé un contrat à NXT en 2016 et tentera de montrer un peu plus que dans ses minces apparitions télévisées pour la branche jaune.

Dakota Kai (Nouvelle Zélande)

Une des trois participantes du continent océanien, la capitaine de la Team Kick est la seule néo-zélandaise du Mae Young Classic. Auparavant nommé Evie, elle est membre à part entière de NXT depuis le début de l’année 2017. Souriante mais agressive, elle a le physique pour réussir à la WWE. Membre régulière de la scène bourgeonnante australienne, on aussi pu l’observer à la Stardom et la SHIMMER, mais aussi à NXT en 2015 face à Nia Jax pour ses débuts. Fidèle à son surnom elle utilise un double foot stomp ou une variante du GTS en prise de finition mais les variantes de kicks ne manqueront pas dans ses matchs toujours rythmés. Une des vraies attractions de ce tournoi.

Abbey Laith (États-Unis)

Anciennement connue sous le nom de Kimber Lee sur le circuit indépendant, la compère de Ruby Riot et Mia Yim a connu un parcours similaire à celles-ci. Après des débuts à la Combat Zone Wrestling en 2011 aux côtés de Drew Gulak elle affrontait déjà Mia Yim à cette époque. Régulière de la SHIMMER, la Shine et la WSU, c’est à la Chikara qu’elle a marqué les esprits en devenant la première femme Grand Champion en battant Hallowicked. On la voit peu à NXT depuis sa signature pour la WWE mais le Mae Young Classic devrait la révéler aux yeux du grand public. Catcheuse très complète, le YoshiTonic est une de ses armes favorites tout comme un bon nombre de prises de soumission dont elle a le secret.

Xia Li (Chine)

Combattante chinoise d’arts martiaux et avides de tournois de fitness, Xia Li fût une des premières recrues chinoises recrutées l’an dernier après le try-out organisé par la WWE dans son pays. Inexpérimentée dans le domaine du catch, elle tentera d’appliquer son savoir en sports de combat dans les ring du Mae Young Classic. Une des découvertes à faire car elle a déjà un personnage à l’esthétique bien définie.

Sarah Logan (États-Unis)

À seulement 23 ans, celle que l’on connaissait comme Crazy Mary Dobson a déjà beaucoup d’expérience entre la SHIMMER, la ROH et la ICW. Elle a lutté en ouverture du Takeover Brooklyn III face à Peyton Royce dans une gimmick de « Country Girl » assez fun à voir. Elle utilise le Split-Legged Moonsault comme prise de finition. Signée à la WWE depuis 2014, elle semble marquer le pas en terme d’exposition et on espère que ce tournoi lui permettra de montrer à ses coachs qu’elle mérite une place de choix dans uen division féminine à reconstruire du côté de Full Sail.

Renee Michelle (États-Unis)

Découverte par l’improbable dénicheur de talents Gillberg et entrainée par Chigusa Nagayo, on sait peu de choses de Renée Michelle malgré le fait qu’elle ait déjà beaucoup voyagé. Catchant en grande majorité pour la MCW dans le Maryland, elle en a déjà remporté le ceinture trois fois. Gare à son Spear qui est une arme redoutable. On l’a aussi vu à la wXw en Allemagne et la Shine.

Piper Niven (Écosse)

L’Écossaise rempli une case qui manque régulièrement à la WWE : la gargantuesque catcheuse à la Bertha Faye ou Aja Kong. Depuis le départ de Nia Jax de NXT, plus personne ne peut prendre cette place. Anciennement connue sous le nom de Viper, elle est actuellement régulière à la Stardom et l’ICW dans son pays natal. On l’a vu dans le pilote du reboot mort-né de World of Sports. Aussi à l’aise dans la peau d’une heel que d’une face, elle a tout d’une catcheuse complète. Elevator Drop, Avalanche ou Powerslam, elle sait utiliser sa puissance pour remporter ses matchs. On espère qu’elle saura plaire aux officiels car on ne trouve plus beaucoup de catcheuses de ce type.

Kay Lee Ray (Écosse)

Encore une Écossaise et encore une qui a bien voyagé autour du globe pour approfondir son art. WCPW, SHIMMER, Stardom, wXw, la catcheuse hardcore des highlands est malgré ses 25 ans une des vétérans du circuit du catch féminin. Avec sa chevelure rousse et son accent à couper au couteau, l’agressive Britannique tentera de se frayer un chemin dans la compétition avec sa Gory Bomb. Elle a déjà affronté au moins une dizaines de participantes de ce tournoi donc elle devrait trouver une alchimie assez facilement quelque soit son adversaire.

Ayesha Raymond (Angleterre)

Une des inconnues du Mae Young Classic, elle culmine à plus de 1m80. Brawler dans l’âme elle sera un peu la Kenneth Johnson ou Anthony Bennett de ce tournoi. Entrainée par Johnny Saint et Robbie Brookside, on sera impatient de voir ce qu’elle a à proposer dans un panel aussi fourni. Sous le patronyme d’Amazon elle a malgré tout parcouru pas mal de kilomètres et en particulier au Japon à la Stardom et Wrestle-1.

Rhea Ripley (Australie)

Ancienne joueuse de football en Australie, Rhea a choisi le catch et s’est vite imposée comme une des régulières de la Riot City Wrestling dans son pays natal en en devenant même la championne. Membre de NXT depuis peu de temps, Rhea tentera de démontrer l’émergence de la scène australienne comme un des nouveaux eldorados du catch mondial. Grande et athlétique, son « solefood » a l’air d’être aussi énigmatique qu’efficace selon la WWE. Agée de simplement 20 ans, elle sera une des benjamines du tournoi.

Miranda Salinas (États-Unis)

Fan de Trish Stratus depuis son plus jeune âge, Miranda Salinas est issue de la Reality of Wrestling, la promotion de Booker T. Une des plus petites participantes du tournoi, mesurant seulement 1m57, elle utilise un style inspiré de la rapidité et folie de la Lucha Libre pour tenter de combler son déficit de gabarit. Une des découvertes de ce tournoi car elle lutte que rarement à ce stade de sa carrière.

Zeda (Chine)

Pour terminer, la deuxième représentante de la République de Chine, Zéda est assez méconnue pour le fan lambda de catch. Elle a un gros passé en sports de combat ayant été entrainée en MMA, en lutte mais aussi en catch par Brian Kendrick Elle a également fréquenté le camp d’entrainement de la légende de l’UFC Anderson Silva. Elle sera à découvrir à l’occasion de ce Mae Young Classic.

Maintennat que nous avons vu toutes les 32 participantes au tournoi, rendez-vous ce lundi à 15h heure française sur le WWE Network pour découvrir les quatres premiers épisodes du Mae Young Classic.

WWE Mae Young Classic : Présentation des participantes
.
En haut